MOOC One Health World Bank

Le concept One Health reconnaît que la santé humaine, la santé animale et la santé des écosystèmes sont fondamentalement liées. Si bon nombre de ces liens sont positifs et soutiennent la vie humaine, les zoonoses et plusieurs autres menaces sanitaires démontrent comment l’évolution de nos interactions avec les animaux et l’environnement peut entraîner des risques et des répercussions sur les résultats du développement. Les récentes épidémies et pandémies, dont la COVID-19, soulignent la nécessité d’améliorer la prévention et la préparation. Une approche  » Une seule santé  » peut aider les pays à améliorer leur capacité à prévenir, détecter, répondre et se remettre efficacement des événements pathologiques et à se préparer aux menaces futures pour les systèmes de santé publique aux interfaces homme-animal-environnement. Ce module fournit une orientation générale sur l’approche One Health en général et au sein de la Banque mondiale. La section 1 examine la définition, le contexte et la nécessité de l’approche One Health, y compris la valeur ajoutée qu’elle peut apporter.

LIEN D’INSCRIPTION

 

Formation en ligne : le MOOC Santé environnementale

En octobre prochain, l’Institut de santé publique, d’épidémiologie et développement (Isped) de l’université de Bordeaux et la faculté de Médecine et pharmacie de l’université de Poitiers ouvrent une formation gratuite en ligne (MOOC) dédiée à la santé environnementale. Inscrivez-vous au MOOC dès le 11 juillet !

Formation en ligne : le MOOC Santé environnementale

Ouverture et contenu du MOOC

L’ouverture du MOOC se fera du 14 octobre 2022 au 14 avril 2023 (6 mois) avec un temps d’investissement de 12 heures minimum (auto-rythmé).

Les inscriptions sont ouvertes !

Le contenu du MOOC s’articule autour de sujets d’actualité comme : les perturbateurs endocriniens, les cosmétiques, les pesticides et agriculture, la pollution atmosphérique, les ondes et champs électromagnétiques et d’autres sujets.

A qui d’adresse le MOOC  ?

La formation s’adresse en priorité aux professionnels de santé (médecins, dentistes, sages-femmes, infirmiers, pharmaciens, masseurs-kinésithérapeutes, etc.), du secteur médico-social ainsi qu’aux professionnels de santé environnementale.

Les étudiants dans ces domaines et toute personne disposant de prérequis et souhaitant approfondir ses connaissances sur le sujet peuvent suivre également cette formation.

Objectif

L’objectif de ce nouveau MOOC est de permettre à chacun(e) de comprendre, décrypter les discours et d’expérimenter la Santé Environnementale, grâce à des contenus pédagogiques variés élaborés par des experts : vidéos, quiz, cas pratiques, fiches conseils, ressources complémentaires.

Le plus de cette formation : grâce à une approche conjuguant théorie et pratique, elle permet aux professionnels de s’emparer du sujet de façon pragmatique, en délivrant notamment des outils pratiques, tels que des kits de prévention (flyers, plaquettes, dépliants) par exemple.

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Revue française d’éthique appliquée n°11

Sortie de la Revue française d’éthique appliquée n°11
Être touché
Éthique, épistémologie
et politique des affects en temps de crise

Sans avoir les pieds dans l’eau, peut-on être activement et collectivement affecté par la crise écologique ? Sans avoir la faim au ventre, peut-on être activement et collectivement affecté par la montée indécente des inégalités sociales ? Peut-on être activement et collectivement affecté au point de nous engager vers et avec l’autre, non plus seulement avec des slogans ou des valeurs, mais véritablement corps et âme, en résonance ? C’est donc de la construction d’un horizon éthique, épistémologique et politique des affects en temps de crise que ce dossier entend être une contribution. Comment les valeurs éthiques que nous défendons peuvent rentrer en résonance avec nos corps ou à travers tous nos sens ?
Comment peuvent-elles résonner aussi au travers de corps sociaux, de nos institutions dont les logiques guident nos actions quotidiennes et qui sont insensibles ou « muettes » face à ces valeurs ? Autrement dit, comment installer concrètement l’idée que l’affect est une forme de lien social et politique ?

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Introduction au dossier
Léo Coutellec, Sebastian J. Moser, Hartmut Rosa

Du mariage paradoxal entre sensibilité et insensibilité

Nous sommes en temps de crise, une crise indissociablement éco­­logique et sociale dont il n’est pas question de documenter ici la nature ou de discuter la portée. Les diagnostics ont été faits (Devictor, 2015 ; Rockström et coll., 2009), les signaux d’alerte largement popularisés (Carson, 1962 ; Vargas, 2019). Et plus en avant, une question ne cesse de nous hanter : ne sommes-nous pas obligés de constater une grande insensibilité collective à la destruction du vivant et à l’injustice sociale ? Ou, situation plus trouble, constater un mariage paradoxal entre une sensibilité croissante d’une part – sensibilité écologique ainsi que sensibilité à l’injustice raciale et sexiste – et, dans le même temps, une insensibilité croissante à ces phénomènes dans la « vie factuelle » s’exprimant dans des actes et choix sociétaux qui aggravent aussi bien la crise écologique que sociale ? Sinon, comment expliquer que l’urgence de la question écologique reste à ce jour sans véritable réponse politique internationale à la hauteur des enjeux ? Sinon, comment expliquer que la migration – au lieu d’être reconnue comme une conséquence de la perte des espaces vitaux, d’une inégalité croissante ainsi que des guerres politico-religieuses – renforce les positions nationalistes et le repli sur soi ?

L’invisibilité médiatique ou informationnelle de ces phénomènes – destruction du vivant et injustice sociale – ne peut pas en être une raison acceptable à l’heure d’un accès sans précédent à l’information et d’une médiatisation croissante. Le manque d’analyse ou de compréhension à leur égard ne sont pas non plus de bons candidats pour expliquer cette insensibilité. Au contraire, il semblerait que l’espace des raisons soit largement mobilisé pour aider à décrypter, à analyser les causes et les effets de ces phénomènes. Sur le seul sujet du réchauffement climatique, nous en avons un bon exemple avec le travail de long cours du giec (2019). Reste la possibilité que l’inaction, le désintérêt ou l’insensibilité face à la destruction du vivant et à l’injustice sociale soient le fruit d’un choix éthique et politique, à savoir une pesée et un arbitrage de valeurs et de finalités. Effectivement, la défense de certaines valeurs, comme le profit économique, le confort, l’abondance matérielle ou, pour le dire autrement, l’extension de notre capacité de nous approprier le monde, d’utiliser la nature en la rendant maîtrisable en tout lieu et en tout point, pourraient prévaloir sur la création d’un mode de relation en résonance (Rosa, 2018 ; 2020). Mais alors, qu’en est-il de ceux pour qui cette aspiration à une relation au monde moins destructrice, plus résonante, reste une valeur primordiale, au point d’en faire un projet politique, mais qui pourtant n’agissent pas concrètement, ou trop peu, face à la destruction du vivant, n’incarnent pas ou trop peu au travers de tous leurs sens la colère d’une destruction de ces valeurs ? Ou, pour le dire autrement : pourquoi, comme nous le montrent de nombreuses recherches empiriques, ceux qui accordent une grande importance à la durabilité sont aussi ceux qui ont la pire empreinte carbone (Kennedy et coll., 2015 ; Moser et Kleinhückelkotten, 2018) ?

La sensibilité : un vecteur d’engagement à l’action ?

Comme l’information, comme le savoir, les valeurs ne semblent pas être en soi des principes directeurs de l’action. L’hypothèse que nous souhaitons formuler est la suivante : l’accès et la circulation de l’information, la construction et la diffusion des savoirs, l’affirmation et la défense de valeurs ne suffisent pas à tisser une relation avec le monde, ne suffisent pas à produire des axes de résonances qui nous engagent individuellement et collectivement à agir, lorsqu’ils sont vidés de leur dimension sensible, lorsque l’affect qui les sous-tend, ou du moins les traverse, est refoulé, inhibé, invisibilisé voire réprimandé. Or, aussi en guise d’hypothèse : être touché, atteint, ému ou animé par ce qui nous entoure est peut-être l’une des capacités indispensables pour faire face aux crises, capacité sous-déterminante de nos sphères informationnelles, de nos efforts cognitifs, de nos revendications axiologiques.

Au moins depuis le début des années 2000, la question de l’affect a attiré l’attention de plusieurs théoriciens pour dégager une autre conception de notre relation-au-monde (Massumi, 2002 ; Clough, 2008 ; Ruddick, 2010 ; Hoggett et Thompson, 2012 ; Nussbaum, 2013). Une chose exerce une puissance sur une autre, cette dernière s’en trouvant modifiée, nous dirons que l’affect est le nom de cette modification (Lordon, 2016). L’affect, l’affectus de Spinoza, est ainsi cette capacité à affecter et à être affecté. Plus précisément, l’affect décrit l’émoi émotionnel et physique de l’attention du sujet ; c’est ainsi « qu’il développe un intérêt intrinsèque pour le fragment de monde qui lui fait face et se sent […] en position de destinataire » (Rosa, 2020, p. 43). Cette interpellation ne peut pas être neutre, sans valeur ou sans signification.

Les récentes catastrophes sanitaires comme la pandémie du sars‑cov‑2 ou écologiques comme les inondations estivales en Europe de l’Ouest, compris comme événements qui nous arrivent et nous frappent, nous montrent comment cette disposition affective peut s’imposer à nous, nous laisser sans défense aussi bien au sens littéral qu’au sens figuratif. Victime d’un méga-feu, d’une violence effroyable, nous ne perdons pas uniquement nos biens matériels, la fumée âcre et la chaleur torride nous touchent dans notre chair, dans nos corps (Zask, 2019). L’événement catastrophique peut nous affecter au travers de tous nos sens. Il en sera de même pour ces populations contraintes de quitter leur logis, leur village, leur région suite à la montée des eaux, de ces peuples indigènes chassés par la déforestation, de ces familles dépendantes de l’aide alimentaire dans des villes où l’abondance matérielle et la sur-consommation sont devenues ostentatoires. En ces temps de crise, l’étendue de notre surface d’affection augmente considérablement.

Mais alors de nouvelles questions embarrassantes émergent : faut-il être touché individuellement par la catastrophe pour être touché par ses effets collectifs, ses effets sur autrui ? Faut-il vivre l’injustice dans son existence pour la combattre au-delà ? « Être touché » ne serait-ce alors qu’une disposition passive alimentant les thèses en vogue qui consistent à souhaiter l’effondrement pour qu’enfin le sursaut civilisationnel se produise ? C’est une voie possible mais dont certaines limites ont déjà été diversement documentées (Larrère et Larrère, 2020). Cette position qui consiste à dire « tant qu’on n’a pas les pieds dans l’eau, on ne bouge pas » est caractéristique d’une certaine façon de comprendre la place et le rôle des affects. Elle cantonne ces derniers à des dispositions passives et individuelles. L’affect est réduit à ce que l’on reçoit passivement, en tant que sujet. Pourtant, nous pouvons comprendre que « tout est affaire de figurations intenses puisque ce sont ces images, ces visions qui, bien plus que tout autre discours abstrait sur la cause, déterminent à épouser la cause » (Lordon, 2016, p. 65). Ainsi, pourrait-on faire de l’affection une contagion, non angoissante mais mobilisante, créer des « machines affectantes » dont le but n’est pas de nous contraindre devant la certitude d’une catastrophe mais de nourrir notre puissance d’agir avec et face à celle-ci.

Reformulons ainsi ce que nous explorons dans ce dossier : la disposition à être touché, la survenue de l’affect dans notre façon d’agir ou de réagir face à la destruction du vivant et/ou à l’injustice sociale peut aussi être une disposition active et non spécifiquement individuelle. Une disposition à cultiver et à encastrer dans l’information, le savoir, l’éthique. Comment l’information peut-elle être autre chose qu’une entreprise de production de subjectivités contemporaines aliénées ? La science, et plus généralement la démarche cognitive, peut-elle être comprises autrement que comme une démarche insensible de désensibilisation (Dumain et coll., 2013) ? Comment les valeurs éthiques que nous défendons peuvent-elles entrer en résonance avec nos corps, traverser tous nos sens ? Comment peuvent-elles résonner aussi au travers de corps sociaux, de nos institutions dont les logiques guident nos actions quotidiennes et qui sont insensibles ou « muettes » face à ces valeurs ? Autrement dit, comment installer concrètement l’idée que l’affect est une forme de lien social et politique ?

Pour aller au cœur de la problématique que nous interrogeons dans ce dossier, nous posons la question suivante : comment peut-on caractériser, documenter, valoriser un lien entre l’affect et l’action qui ne soit pas uniquement le résultat passif d’une situation contrainte ou qui réduit l’affect à une forme de sensiblerie inoffensive ? « Être touché », plus qu’une injonction au changement individuel ou la disposition passive à espérer, pourrait être à la fois une disposition à cultiver collectivement et une méthode pour l’action. Sans avoir les pieds dans l’eau peut-on être activement et collectivement affecté par la crise écologique ? Sans avoir la faim au ventre, peut-on être activement et collectivement affecté par la montée indécente des inégalités sociales ? Peut-on être activement et collectivement affecté au point de nous engager vers et avec l’autre non plus seulement avec des slogans ou des valeurs, mais véritablement corps et âme, en résonance ? C’est donc la construction d’un horizon éthique, épistémologique et politique des affects en temps de crise que les contributions de ce dossier cherchent à construire.

👉Lire l’article entier sur Cairn (en libre accès)

Une initiative de l’Espace éthique Île-de-France

L’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France est un lieu de diffusion, de réflexion et de formation aux questions éthiques et sociétales de la santé, du soin, de l’accompagnement et de la recherche. Il travaille en réseau avec les institutionnels, professionnels et associatifs en Île-de-France. Depuis 2013, il est sous l’autorité de l’Agence régionale de santé (ARS) d’Île-de-France. Il tend à développer une réflexion et une démarche éthiques appliquées aux réalités de terrain, en réponse aux demandes des intervenants et des décideurs publics et institutionnels. Pour créer les conditions d’une concertation pluraliste, et concilier un travail d’observation, de veille et d’anticipation, l’espace de réflexion éthique de la région Île-de-France est investi dans des domaines de recherche-action qui recouvrent un champ très large (vulnérabilités dans la maladie, innovations thérapeutiques, nouvelles technologiques qui transforment les pratiques…). Il a également pour mission de proposer des formations universitaires et de produire une recherche en éthique susceptible de contribuer aux débats publics, et aux échanges nécessaires entre les différents partenaires.

En savoir plus : http://www.espace-ethique.org
Contact presse : 

Podcasts de la SFSP – Saison 1 – “Agir en situation d’incertitudes et de controverses, quels enseignements pour la santé publique ?”

Pour que toutes les voix de santé publique puissent être entendues, La Société Française de Santé Publique discute, à chaque épisode de ce podcast, avec un acteur ou une actrice de santé publique, sur l’un de ses sujets d’expertise. La parole est ouverte à différentes voix de santé publique, les propos tenus par les invités de ce podcast ne reflétant pas nécessairement la position de la SFSP.

Cette première saison des podcasts de la SFSP s’articule autour de sujets liés à la thématique de notre Congrès 2021: “Agir en situation d’incertitudes et de controverses, quels enseignements pour la santé publique ?”

Retrouvez les 3 premiers épisodes de la saison sur le site de la SFSP.

Replay Conférence « Une seule santé, en pratique ? » – VetAgro Sup

La crise de la Covid-19 vient nous rappeler la complexité et toute l’incertitude des interactions entre la santé des humains et celle des animaux ainsi que des environnements globaux dans lesquels elle s’inscrit. Car ces êtres vivants que nous exploitons, sélectionnons ou protégeons semblent avoir échappé à notre contrôle, générant une pandémie mondiale et, avec elle, font peser une culpabilité sur la population humaine qui devient responsable, par ses impacts sur la nature, de l’émergence du virus et de sa diffusion rapide dans la majorité des pays du globe.

Cette journée propose de contribuer à la réflexion sur les transitions vers un modèle plus préventif et durable, en mobilisant l’ensemble des parties prenantes pour continuer de co-construire des solutions et des recommandations d’action publique. Elle se nourrira pour cela à la fois des réflexions sur l’existant et des regards des praticiens, faisant alterner une phase de conférences plénières et des ateliers. Quelques thématiques ont été choisies pour ce premier rendez-vous. Pour illustrer la complexité du vivant à l’échelon microscopique, l’atelier 1 est consacré aux microbiotes. Mais il faut aussi penser cette complexité en la réinsérant dans les cadres organisationnels, économiques et d’aménagements qui ont été mis en lumière par la crise de la COVID 19. Sont notamment abordés dans les ateliers 2, 3 et 4, les liens entre agriculture et alimentation au cœur de l’émergence de pathologies infectieuses, la prise en compte plus intégrée de la faune sauvage et, enfin, les impacts d’un usage massif des biocides sur les résistances croisées. Notre réflexion gagnera enfin à combiner une réflexion sur les politiques publiques, notamment sur les liens entre les échelles d’action publique (territorial, national, européen et international) dans les ateliers 5 et 6, avec une analyse prospective de la formation des différentes parties prenantes à commencer par les professionnels de santé dans l’atelier 7. Par la réunion d’acteurs de divers horizons, la conférence propose de mettre en discussion notre modèle de gestion des crises sanitaires et de penser les contours d’une nouvelle gouvernance de la santé à l’échelon national, européen et international.

Cette journée propose en particulier quatre niveaux de questionnement :

  • Quelles sont les connaissances scientifiques en médecine humaine et vétérinaire, en écologie ou en sciences sociales qui fondent le débat ?
  • Où en sont les politiques publiques dans les territoires ?
  • Comment penser les relations entre initiatives locales, pilotage national et normes européennes et internationales ?
  • Quelle formation pour les décideurs et les professionnels de santé ?

Nous passerons donc d’un état de la science et des politiques publiques à des propositions, recommandations pour l’action, depuis la recherche jusqu’aux politiques locales, dans nos territoires, nos socio-écosystèmes.

Vous pouvez retrouver l’intégralité de la conférence en replays directement sur le site de l’évènement.

Les mardis de l’IRDES

Les séminaires « Mardis de l’Irdes » présentent des travaux de recherche finalisés ou en cours.

Ils répondent à deux objectifs :

– présenter et discuter les travaux effectués par les chercheurs de l’Irdes,

– valoriser et échanger sur les travaux réalisés par des équipes de recherche extérieures à l’Irdes.

Les « Mardis de l’Irdes » se déroulent deux fois par mois et sont ouverts aux personnes extérieures (chercheurs, administrations, professionnels de santé, etc.). La durée d’un séminaire est au maximum d’une heure et demi, soit jusqu’à 45 minutes d’exposé et 45 minutes de discussion.

Mardi 16 mars 2021 17h : Réponse des Maisons et des Centres de santé à l’épidémie de Covid-19 en France : une étude des adaptations organisationnelles en situation de crise

Mardi 30 mars 2021 11h : Trajectoires et déterminants individuels du recours régulier à la prévention sur longue période à partir des données de la cohorte E3N

Mardi 8 juin 2021 11h : Comment expliquer les inégalités de classe et de genre dans les récupérations post-AVC ?

Pour plus d’informations et pour vous inscrire, rendez-vous sur le site de l’IRDES.

Bulletin 41 du CLISP : les internes de santé publique au cœur de la crise

Le dernier bulletin du CLISP (Collège de liaison des internes de santé publique) est une édition spéciale COVID-19 décrivant le rôle des internes de santé publique au sein de la crise sanitaire.

Allez y jeter un coup d’oeil pour vous faire une idée de l’étendue des possibilités avec notre spécialité :

Accéder au bulletin sur le site du CLISP

Par ailleurs, d’autres témoignages d’internes parisiens sont disponibles sur notre rubrique « Témoignages d’ISP parisiens » (stages hors COVID-19).